Orchésienne et Drocourtoise 2017

Deux groupes VTT ce matin étaient de sortie ce dimanche. Pendant qu’Arnaud et Jean-Louis étaient partis découvrir la nouvelle randonnée de Drocourt, le gros de la troupe (Guillaume, Christophe, Sylvain, Fred, Greg, Valentin, Sébastien, Olivier et Denis) est parti sur le 50km chez nos voisins et amis d’Orchies pour leur traditionnelle Orchésienne.

une partie du groupe avant le départ

Nous alternons les passages roulants et pas trop gras en passant par la Forêt de Marchiennes. Ensuite direction le terril de Rieulay puis retour par Bouvignies et Coutiches. Une belle matinée sous le soleil !

Denis

Trace GPS


A Drocourt, ce fut l’occasion de découvrir la nouvelle rando du club local. Même si c’était la seconde édition, ce fut la première fois qu’il y ait eu autant de monde. En effet, en 2016, les pauvres organisateurs ont eu la malchance d’essuyer une tempête automnale refroidissant l’ardeur de la majorité des vététistes du dimanche matin. Cette année, ce fut l’inverse, car un magnifique ciel bleu nous accompagnera toute la matinée !

Arrivés à la salle vers 8h00, nous découvrons une salle déjà bien remplie. Les inscriptions se font cependant assez rapidement. On croise bien évidemment les sympathiques Renards.

une salle bien remplie qui augure une belle matinée pour les organisateurs

Ayant déjà repéré sur internet les différents tracés proposés, on se dirige rapidement vers le plus grand parcours de 52km (qui finira avec 55km au GPS…). Après quelques chemins agricoles, on arrive au terril du Pommier. On découvre avec bonheur ce nouveau passage. Quelques petites grimpettes et quelques singles font notre joie. Dommage qu’on ait à plusieurs reprises du chercher les flèches blanches à terre (parfois effacées par la pluie de la veille ou les vélos…) et la rubalise (souvent placée trop à côté ou absente).

Après ces quelques petits tracas d’orientation, on reprend les chemins habituels pour trouver le point d’orgue de la matinée : le grand terril d’Henin-Baumont au pied d’Aquaterra. A la différence de la rando de Rouvroy, on montera sur la butte à l’envers. Les grimpettes étant bien corsées, on mettra souvent le pied à terre, la foule des randonneurs à cet endroit n’aidant pas non plus.

Arnaud arrive enfin au sommet, ou presque…

Après avoir admiré le panorama, il était temps de descendre. Tous nos efforts pour grimper au sommet ont été récompensés par une longue descente dévalée à vive allure. Le VTT d’Arnaud n’arrêtait pas de faire des sauts de cabri ! Dommage que ma nouvelle fixation de caméra sur le guidon n’était pas arrivée, y’avait une belle vidéo à faire !

Après quelques (longs) singles, il était enfin temps de trouver le premier ravito (au bout de 23 km quand même !). Ouf, on a enfin pu recharger les accus après tous ces passages techniques souvent éprouvant. Le stand était hélas mal positionné. En effet, peu de place pour les très nombreux randonneurs présents ce matin. Les 4 bénévoles étaient aussi bien débordés, mais nous avons eu fort heureusement à boire et à manger (les classiques, sans plus).

des bénévoles débordés, mais ils ont assuré !

Ca y est, on a repris des forces, il est maintenant temps d’attaquer l’immense terril de Fouquières. Comme à Sallaumines, il est bien exploité, et la pluie de la veille l’a rendu bien humide, mais tout s’est bien passé. La gadoue assez fluide ne collait pas. Quelle joie ensuite de zigzaguer entre les arbres, de monter, descendre toutes ces parties ludiques. On s’est encore bien amusés. Heureusement que Gérard Colin était présent pour nous prendre en photo (avec le fléchage parfois hésitant, c’était l’autre point noir : pas de photographe officiel sur le tracé du 55km, mis à part au premier ravito).

Arnaud et JL (au fond) à Fouquières

On pensait en avoir fini, et non, les singles continuent à s’enchainer ! Peu de répit, mais même si le tracé est exigeant, la difficulté est bien diluée le long du parcours, et on n’est jamais à court de jus. Vers Sallaumines, on arrive au second ravito, qui sera hélas dévalisé à notre arrivée ! Ne restaient que de l’eau aromatisé (à la pamplemousse, première fois que j’en prenais et ce n’était pas désagréable) et quelques oranges !

Ensuite, après (encore) quelques singles dans un sous-bois où les bouleaux nous laissaient un passage bien étroit mais très ludique, on arrive enfin au terril de Méricourt. Moins imposant que Fouquières ou Henin, il reste néanmoins sympathique. Les kilomètres s’enchainent donc toujours sans répit. Après un long faux plat au milieu des champs, on arrive ENFIN aux alentours de Drocourt. Certes, l’arrivée n’est pas directe, mais la salle apparait après plus de 3h30 de roulage. Il était temps, car on commençait à en avoir marre !

un dernier effort et on y est !

Heureusement, il y a encore des hot dogs et des boissons pour nous sustenter ! Ils seront bien mérités.

Après avoir rempli son estomac, il était temps de laver les montures qui en avaient bien besoin ! On se demande toujours comment on arrive à passer ses vitesses et ses plateaux avec autant de boue collée au vélo ! 4 jets efficaces étaient disponibles. Un peu d’attente, mais ça allait à l’heure (tardive) où on est passés.

En résumé, un tracé exigeant (du moins sur le grand parcours), technique avec énormément de singles et de terrils. Très peu de bitume. Jamais ennuyeux, il fallait cependant faire attention au fléchage à terre (parfois peu visible) et aux rubalises parfois mal placées. Evitez également de bomber les arbres, c’est pas très écolo…

Pour le reste, ne changez rien. Le parcours était top ! Avec de bonnes jambes, on passe une magnifique matinée. Et quand une belle météo ensoleillée est au rendez-vous, c’est que bonheur !

Jean-Louis (heureux)

encore bravo aux organisateurs ! A l’année prochaine !!!!

Lien GPS 55km

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