Estrun 2017

Pendant que les cyclos et quelques VTT rescapés du Testathlon de la veille (dont Guillaume et Christophe) étaient partis chez nos voisins de Phalempin, votre serviteur Jean-Louis s’est retrouvé tout seul à Estrun pour sa première participation à « l’Estrun d’enfer »… Voyant à chaque fois les sympathiques membres de ce club à toutes nos randos organisées, il était grand temps de leur rendre la politesse.

Ca tombait bien, une météo quasi estivale était également au rendez-vous et c’est donc sous un beau soleil que j’ai effectué mes 55km prévus.

Avant cela, il fallait tout d’abord s’inscrire dans une salle municipale pas très grande mais suffisamment pour accueillir les quelques dizaines de vététistes présents. A l’accueil, deux gentilles hôtesses étaient là pour encaisser notre obole et nous rendre le ticket pour la collation finale. Au bar, le traditionnel café et le spéculos étaient présents (ainsi qu’un litre de lait pour ceux qui aiment bien leur café crème comme moi… y’en a pas partout et donc cela commençait fort bien). Je fais la bise à tous les copains dont certains Renards, les gars de Quéant, les Bécanes Sauvages et autres amis du dimanche.

de longs chemins agricoles…

Comme dit précédemment, j’opte pour la plus grande distance : le 55km. En effet, y’avait de la route pour venir à Estrun et il fallait rentabiliser la route !  🙂 Etant près de Cambrai et de Blécourt, le terrain de jeu était connu : de longs chemins agricoles, souvent en faux-plats. Estrun n’a pas dérogé à la règle et les 2 tiers du parcours seront du même acabit. Malgré un fléchage au top (une flèche au sol rouge bien visible, une en amont pour prévenir, une sur l’intersection et une dernière pour bien indiquer que nous sommes sur la bonne direction, sans oublier une croix aux mauvais sens : parfait !), la rando était un peu monotone (ce n’est hélas pas la faute au club qui fait avec sa région). Heureusement que je rencontre un jeune qui roule à mon allure et avec lequel je vais beaucoup papoter (j’ai une réputation à tenir !!!). Le parcours roulant se fait donc assez rapidement et le premier des 3 ravitos arrive déjà. Sur place, les friandises habituelles sont là en qualité et en quantité. Rien à redire à ce sujet.

beaucoup de monde au 2ème ravito !

Pour arriver au 2ème ravitaillement, le terrain de jeu reste identique. Beaucoup de crevaisons sur la route, mais j’évite fort heureusement cette mésaventure !

A partir de là, les choses sérieuses vont enfin commencer. En effet, le premier single dans un sous-bois près du canal de la Sensée est arrivé. Déjà emprunté à Blécourt, celui-ci sera beaucoup mieux exploité. Un magnifique travail de rubalise du terrain a rendu ce passage très ludique, multipliant les grimpettes et virages à souhait. Un pur bonheur !

un labyrinthe à la rubalise très bien fait

Au 3ème et dernier ravito à Paillencourt, on a même eu droit à un single « maison » fort sympathique lui-aussi agrémenté de quelques bosses en bois pour pouvoir s’amuser comme sur un mini Pumptrack ! C’est tout con, mais il fallait y penser !!! Plusieurs photographes seront même là pour immortaliser la matinée.

un beau petit terrain de jeu

Après quelques belles et longues descentes (dont une dévalée à 45km/h), il était temps de rentrer à Estrun où nous attendait notre collation. Et c’est encore sous un beau soleil radieux que j’ai pu déguster un excellent sandwich au fromage avec quelques gars des clubs amis.

beaucoup de monde aussi en terrasse !

Je ne regrette donc pas du tout d’avoir fait quelques km pour venir à Estrun ce matin ! Merci encore au club inventif d’Estrun pour ce beau moment.

Sportivement

Jean-Louis

Trace GPS 55km

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